De Poingam à Poindimié en passant par Hienghene
Pour rallier hienghene en partant de Poingam il faut déjà reprendre la piste pour accéder à la route.
(Poingam est à 20 bonnes minutes de la route principale).
Puis, après plus ou moins 2 heures de route, il faut prendre le bac, le dernier bac de Calédonie pour arriver à Hienghene.
Les villages défilent, ou plus exactement les tribus. Etant dans la "jungle/brousse",très luxuriante, on pourrait croire qu'aucune différence n'existe entre les parcelles du bord de route et les parcelles habitées. C'est totalement faux et très surprenant pour nos yeux d'européens.
D'un coup, la pelouse est tondue, les fleurs de la brousse sont mises en pot ou plantées avec soin.
De loin, des fleurs au bord du macadam nous indique déjà la présence humaine.
Devant chez un particulier.
Beaucoup de drapeaux " kanaky" en faveur de l’indépendance du pays
Pas mal de petits stands construits par les gens sur leurs propriétés pour vendre leurs surplus de production (bananes, mandarines), des plantes, quelques coquillages ou bien des sculptures.
Les gens du nord font souvent signes pour nous dire bonjour et nous y répondons bien volontiers avec plaisir car chez nous, en France, cela se perd. C'est pourtant tellement agréable et rassurant lorsque l'on est salué par l'inconnu. Ça chasse l’appréhension de ce que nous ne connaissons pas.
Plus nous avançons moins les gens nous saluent car nous passons du nord à l'est. Le côté Est de l'île est réputé pour être moins accueillant envers les Zoreilles, les métropolitains.
J'ai pris les photos par la fenêtre de la voiture la plupart du temps, car certaines tribus n'aiment pa la visite des étrangers.
De ce côté ci de l’île, l'esprit de Jean-Marie TJIBAOU est bien présent et même si "les événements" comme on dit sont encore aujourd'hui un sujet très sensible dans toute la Calédonie, on a l'impression qu'ici "le blanc" n’est vraiment pas le bienvenu (ce que je comprend tout à fait). Attention je n'ai pas la prétention de déclamer une vérité, je donne juste mon ressenti. L'Est en tous cas, est très beau, très sauvage.
(Poingam est à 20 bonnes minutes de la route principale).
Puis, après plus ou moins 2 heures de route, il faut prendre le bac, le dernier bac de Calédonie pour arriver à Hienghene.
Les villages défilent, ou plus exactement les tribus. Etant dans la "jungle/brousse",très luxuriante, on pourrait croire qu'aucune différence n'existe entre les parcelles du bord de route et les parcelles habitées. C'est totalement faux et très surprenant pour nos yeux d'européens.
D'un coup, la pelouse est tondue, les fleurs de la brousse sont mises en pot ou plantées avec soin.
De loin, des fleurs au bord du macadam nous indique déjà la présence humaine.
Devant chez un particulier.
Epicerie où chaque client a son carnet à son nom avec toutes ses commandes
Les gens du nord font souvent signes pour nous dire bonjour et nous y répondons bien volontiers avec plaisir car chez nous, en France, cela se perd. C'est pourtant tellement agréable et rassurant lorsque l'on est salué par l'inconnu. Ça chasse l’appréhension de ce que nous ne connaissons pas.
Plus nous avançons moins les gens nous saluent car nous passons du nord à l'est. Le côté Est de l'île est réputé pour être moins accueillant envers les Zoreilles, les métropolitains.
J'ai pris les photos par la fenêtre de la voiture la plupart du temps, car certaines tribus n'aiment pa la visite des étrangers.
De ce côté ci de l’île, l'esprit de Jean-Marie TJIBAOU est bien présent et même si "les événements" comme on dit sont encore aujourd'hui un sujet très sensible dans toute la Calédonie, on a l'impression qu'ici "le blanc" n’est vraiment pas le bienvenu (ce que je comprend tout à fait). Attention je n'ai pas la prétention de déclamer une vérité, je donne juste mon ressenti. L'Est en tous cas, est très beau, très sauvage.
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